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405. (1912) Chateaubriand pp. 1-344

Que la voûte du ciel nous cache en tombant sur nous ! […] Vouloir peindre le ciel, lui René ! […] Il est également incapable de nous peindre un ciel matériel et un ciel immatériel. […] Puisque le ciel l’a voulu, que Lucile soit à jamais perdue !  […] Plaisir errant, que le ciel ne soit pas trop sévère à tes tréteaux ! 

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