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404. (1864) Physiologie des écrivains et des artistes ou Essai de critique naturelle

Elle sert à chercher l’étoile et à courir lestement dans le ciel ; l’autre sert, proprement, à observer. […] Ceux que le ciel a signés, en bien ou en mal, sont sujets plus ou moins à ces symptômes ; ils les ont plus ou moins fréquents, plus ou moins violents. […] Cet homme ardent et frileux se tient toujours enveloppé comme le python des galeries zoologiques : on croirait qu’il est né à Java, et non pas sous le ciel de Paris. […] … Lignes superbes, qui vous perdez dans le ciel ! […] Le ciel était d’or, la terre était d’or. » Une magnificence matérielle, c’est tout ce qu’ils comprirent au commencement.

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