Wolsey lui donne des fêtes251 « de façon si coûteuse et si splendide, que c’est un ciel de les regarder. […] Ces saints que Michel-Ange dresse et tord dans le ciel au Jugement dernier sont une assemblée d’athlètes capables de bien combattre et de beaucoup oser. […] Une tache blanche au bout du ciel entre des bosselures, parmi des morceaux de terre et des bouts de routes qu’il ne voit plus, parce qu’il les a vus cent fois. […] Mais le grand flambeau du ciel, le dieu lumineux, se dégage et rayonne. […] Il a les yeux tournés non vers le ciel, mais vers la terre, non vers les choses « abstraites et vides », mais vers les choses palpables et solides, non vers les vérités curieuses, mais vers les vérités profitables.