Plût au ciel que tous les hommes fussent artistes et poètes, s’ils devaient être ainsi moins malheureux ! […] Comme eux, elle croit qu’un destin implacable la poursuit, qu’elle est une créature fatale et qui porte avec elle le malheur partout où elle va : Le ciel s’est fait sans doute une joie inhumaine A rassembler sur moi tous les traits de sa haine, etc.