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960. (1915) Les idées et les hommes. Deuxième série pp. -341

An début des Martyrs, Chateaubriand fait concourir pour la précellence la muse païenne et la muse chrétienne. Il entend, puisqu’il est le restaurateur du christianisme, accorder le triomphe à la chrétienne. […] Si elle croit en Dieu, parce qu’elle ne pense guère à n’y pas croire, elle n’est pas une âme que les préceptes chrétiens sauvegardent et conduisent. […] … » Les destinées nouvelles de la Gaule commencent ; des cendres de la Gaule druidique naît la Gaule chrétienne. […] Ainsi, le mysticisme chrétien n’est-il pas un fait positif ?

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