Le peuple chrétien se remet aux mains du clergé, qui se remet aux mains du pape. Les opinions chrétiennes se soumettent aux théologiens, qui se soumettent aux Pères. La foi chrétienne se réduit à l’accomplissement des œuvres, qui se réduit à l’accomplissement des rites. […] — Son épopée est allégorique et pourtant vivante. — Elle embrasse la chevalerie chrétienne et l’olympe païen. — Comment elle les relie. […] À travers le paganisme régnant, les instincts spiritualistes percent, et font des platoniciens, en attendant qu’ils fassent des chrétiens.