Les chrétiens soupirent : Chacun pour soi et Dieu pour tous. […] Et comme l’époque continuera de faire la laïque, à seule fin de cultiver en plus grande paix l’idéologie chrétienne, au messianisme de s’en donner à cœur joie. […] Mais combien de sacrifices humains, la foi catholique, la foi protestante n’ont-elles pas offerts au Dieu des chrétiens ? […] Sans doute, s’il avait eu contre lui les incarnations chrétiennes du remords, les choses ne se seraient-elles point passées ainsi. […] Or, s’il a su ressusciter de toutes les asphyxies plus ou moins parfumées au parfum des vertus chrétiennes, il doit aujourd’hui encore triompher de plus d’un attentat dogmatique.