Le beau portrait du frère Philippe, supérieur des Écoles chrétiennes, qui eut beaucoup de succès en 1815 et depuis, avait montré qu’il avait de la sympathie pour toute nature sincère. […] Il avait exposé, à ce Salon de 1845, la Prise de la Smalah et le portrait du Frère Philippe, supérieur des Écoles chrétiennes ; il pouvait être tranquille au fond : ces tableaux combattaient pour lui.