Selon les rites du sacré collège, le corps du cardinal-ministre, embaumé et fardé après sa mort, était exposé depuis une semaine sur son catafalque dans une des salles du palais Farnèse ; la foule s’y pressait pour contempler et pour prier à ce spectacle de l’apothéose chrétienne de ce grand homme du monde. […] Je suis toujours enchanté de la grâce, de la dignité, de la modération du prince des chrétiens. […] J’ai foi dans ce repos intelligent et chrétien qui nous attend au bout de la journée.