Le livre de Louis Wihl n’était pas des vers pour des vers, des arabesques faites habilement autour d’un sujet délibérément choisi, des colorations objectives : c’était un livre vrai, d’une évocation formidable, où l’Hébreu est un véritable Hébreu, et qui devait surtout remuer profondément les âmes de la même foi que l’auteur.