On lui reproche de manquer de critique, de s’appuyer sur des documents arbitrairement choisis et sans valeur sérieuse. « Il nous cite toujours, dit-on, les Mémoires de Bourrienne, qui sont en grande partie apocryphes, et ceux de Mme de Rémusat, qui sont d’une ennemie, d’une femme qui avait contre l’empereur des griefs personnels et des griefs féminins. […] Si jamais le prince Napoléon écrit l’histoire de son oncle, nous le défions de ne pas choisir les textes et les arranger à peu près dans la même proportion que M.