Un personnage providentiel est là pour intervenir sans cesse en faveur des amants ; ainsi qu’il sied, d’ailleurs, il est lui-même amoureux de l’héroïne, mais comme il est laid et comme son amour est sans espoir, il ne cherche qu’à faire le bonheur de celle qui ne le comprend pas. […] Je n’avais même jamais lu, il y a quelques jours, ces Musardises vainement cherchées et demandées par moi à Alphonse Lemerre, qui les publia à leur heure.