Renée nous les déballe et nous les peint d’un pinceau galant et charmant, mais sans enthousiasme, sans que la magie de ses déesses fasse une seule fois trembler son pinceau. […] Le moraliste du xixe siècle met sa gravité à l’abri derrière l’éventail de cette commère charmante, à qui l’opinion a pardonné d’être naïvement la plus immorale des créatures. […] » N’est-ce pas charmant, et presque touchant ? […] Elle n’a eu qu’une page, il est vrai ; mais cette page couvre toute sa vie, et l’histoire n’oubliera pas ces mots charmants : “Vous m’aimez, vous êtes roi, et je pars !” […] Tous ceux qui voudront ajouter à leurs notions sur le grand siècle devront consulter cet ouvrage, où l’érudition brille et fourmille sous les douces lueurs d’un esprit qui a les grâces que donne la vie, et qui est, comme toutes les supériorités expérimentées, tout à la fois désabusé et charmant.