Mais, dans aucun cas, il n’y aurait à en tirer de conclusion sévère et maussade contre les charmants esprits de ces rois et reines, amateurs des Muses. […] » on peut le répéter avec variante en lisant tout autre poëte du même siècle ; toujours on peut se demander, quand il s’y présente quelque chose de frappant ou de charmant : « Mais n’y a-t-il point là-dessous quelque auteur traduit, un ancien ou un italien ? […] De prime abord, c’est d’un coloris neuf et charmant.