le cher charmant homme ! […] » — « Tenez, voici les échantillons des étoffes ; celui-ci est joli, mais cet autre est tout à fait charmant. […] Du velours noir, belle comme vous l’êtes, avec ces yeux charmants, brillants comme un soleil d’avril à travers un nuage d’hiver ? […] Il le relit quand il est près d’être attendri ; il s’irrite qu’elle ose se défendre : « J’enseignerai à la chère charmante créature à rivaliser avec moi en inventions ; je lui enseignerai à ourdir des toiles et des complots contre son vainqueur ! […] C’est ainsi qu’il rencontrera dans un silence, dans un juron, dans la plus mince action domestique, des délicatesses exquises et de petits héroïsmes, sortes de fleurs charmantes invisibles à tout autre, et qui poussent dans la poudre du plus sec chemin.