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517. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [1] Rapport pp. -218

Cette heure charmante de notre poésie en est aussi une heure fatale. […] Ce grand esprit fut un cœur charmant. […] Nul plus que moi n’admire l’œuvre charmante d’André Chénier. […] Non loin de ce Dieu, un jeune homme, triste, impudent et charmant. […] Il y avait encore le théâtre, le théâtre charmant, joli, farouche, terrible aussi, — plus adoré d’être moins connu.

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