Cette heure charmante de notre poésie en est aussi une heure fatale. […] Ce grand esprit fut un cœur charmant. […] Nul plus que moi n’admire l’œuvre charmante d’André Chénier. […] Non loin de ce Dieu, un jeune homme, triste, impudent et charmant. […] Il y avait encore le théâtre, le théâtre charmant, joli, farouche, terrible aussi, — plus adoré d’être moins connu.