Un charmant vers, et qui sent l’ami des Géorgiques. […] On a les lettres charmantes encore, mais plus réservées, plus résignées, qu’il écrit pendant sa convalescence : c’est certainement du christianisme qui se réveille dans le cœur de Maucroix ; mais, avec le retour à la santé, il s’y mêle bien de l’Horace encore : … Je ne suis pas fâché, non, de n’être pas mort : je ne suis pas si dénaturé que cela. […] Le nom de Maucroix est devenu inséparable de celui de cet ami ; il l’est surtout maintenant qu’on a la plupart de ses vers et les lettres charmantes qui valent mieux.