C’est une œuvre de charmante poésie, mais c’est surtout et avant tout une œuvre de théâtre. […] Près de l’enfant, vivant, mourant, Flambeau incarne l’épopée impériale ; il est l’héroïsme populaire qui ne s’éteint pas, il est terrible, il est joyeux, il est charmant.