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1031. (1890) Journal des Goncourt. Tome IV (1870-1871) « Année 1871 » pp. 180-366

Puis le garde national, à une vingtaine de pas de là, dans un dandinement charmant et gouailleur, elle laisse siffler de sa bouche, avec un mépris intraduisible : « De la câanaille !  […] Et petit à petit, se lève pour moi, de son récit, de la mémoire de la journée, un paysage tout original et tout charmant, pour un roman de guerre. […] La sœur a un charmant gros rire, avec un « Faut le croire !  […] Puis c’est une improvisation charmante de Banville, sur l’imagination de la rime, qu’a au plus haut degré Hugo ; puis c’est la nouvelle donnée par Houssaye, que la Païva s’est mariée avec le comte Henkel, le diadème de l’Impératrice sur la tête. […] Il me dit qu’il a passé par de dures choses, qu’il avait été au moment de se marier avec une charmante jeune personne de la société, dont il était très épris, qu’il a dû rompre parce que cette charmante jeune fille cachait le monstrum horrendum .

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