Je lui ai lu le quinzième chapitre de l’Évangile de saint Jean, où il a pris un grand goût, disant : « Voilà toute ma consolation. » Puis ajoutant : « Il faut bien remercier Dieu de ce qu’il nous a donné une telle consolation dans nos maux, sans laquelle on y succomberait. » Il s’est promené environ une heure, puis on a continué la lecture des voyages, et le soir il y a eu symphonie. […] Il se croit intéressant, et nous initie avec un redoublement de complaisance à tous les détails de la vie du chapitre ; on a ses querelles de chœur, ses rivalités avec le trésorier Phelippeaux et les philippotins, des zizanies auprès desquelles celles du Lutrin sont grandioses.