Chapitre II. […] C’est, sans doute, pour cette raison que Mme Le Normand, la nièce de Mme Récamier, s’est crue un peu la nièce de Mme de Staël, et qu’elle l’a traitée identiquement comme sa tante, en publiant une correspondance dont nous parlions au chapitre précédent, qui déshonorerait Mme de Staël comme femme d’esprit, si nous n’avions pas ses livres.