Je conçois maintenant un chapitre ainsi intitulé Effets et reflets de la politique de Louis XIV sur sa santé, et de sa santé sur sa politique. […] Ceux qui, il y a cinquante ans, avaient l’honneur de visiter le matin le prince Cambacérès et de l’entendre sur le chapitre de sa santé, n’étaient pas plus au fait de toutes les conséquences laborieuses de ses digestions, que nous ne le sommes aujourd’hui des suites des copieux soupers de Louis XIV. […] Miguet, au chapitre premier.