Sur ce chapitre, plus encore que sur tous les autres, l’auteur le prend de haut comme un cosmographe embrassant l’univers d’un œil d’aigle. […] Voici, certes, une matière assez ample pour fournir de nombreux chapitres. […] On se demande si cette accumulation de détails qui prend la moitié d’un chapitre au moins, prête de la clarté au sujet.