À quoi bon chanter, s’il n’y a plus à chanter l’amour ? […] Tous les chants que pouvait inspirer le simple amour, on venait de les chanter. […] Donc, il chantait le plaisir d’amour et il chantera la peine d’amour. […] Le poète lyrique — le Musset des premières et nouvelles poésies — chante son émoi. Il est ainsi, à ne chanter que lui, le prisonnier de lui-même ; un prisonnier qui chante dans sa cellule qui est lui.