N’entend-on pas, au creux du sillon qui la brûle, La cigale aux cent voix chanter la canicule ? […] Son beau cap, ses jardins, sa mer, ses bois, ses cieux, Lui prêtèrent la place et l’heure des adieux ; Ses oiseaux familiers, voletant dans la nue, Lui chantèrent au ciel sa libre bienvenue !