Milton, qui a chanté les douleurs du premier homme, a aussi soupiré le Penseroso. […] C’est l’alouette qui chante ; je reconnais sa voix aiguë. […] Que n’ai-je la voix et l’ardeur du séraphin pour chanter ta gloire avec un amour religieux ! […] Est-ce l’alouette qui chante , etc. ? […] Ce sont les pommes d’or des Hespérides, c’est cette Bétique chantée par Homère, et embellie par Fénelon.