Nous avons, pour le moment, des historiens druides, comme nous avons des poètes païens ou indiens qui chantent Bhagavat ou Zeus en français du xixe siècle, et c’est la même loi qui donne ces messieurs. […] Lui, l’occidental et le chrétien, il chante l’Être et le Néant qu’il glorifie. […] Quand il le chante, c’est qu’il traduit Burns, c’est qu’il traduit Horace, c’est qu’il traduit Anacréon !