Le Dit des arbres, les Fleurs de jadis où il chantait les louanges et les mystères de l’Omphalode, de la Coquelourde, de l’Alysson, de la Dame d’onze heures et du Gant Notre-Dame seraient des travaux dignes d’un lettré de la Chine sans le sourire qui vient nous rappeler que, pour se plaire aux combinaisons de syllabes rares, l’arrangeur de ces mosaïques n’est pourtant pas dupe de son jeu. […] Qu’importe, reprend Voltaire : « On chantait publiquement sur le théâtre de Rome : Post mortem nihil est… et ces sentiments ne rendaient les hommes ni meilleurs ni pires. […] Dirai-je, enfin, que dans ces livres on boit, on chante, on s’aime, on se déchire avec une sorte de furie ?