Au besoin, elle lui chantait pouille. « Le roi a déclaré qu’il n’était pas le père de l’enfant dont elle est grosse en ce moment ; mais elle lui a dit : « Le diable m’emporte ! […] Il y en a trois qui viennent chez lui, font ripaille, boivent, chantent, et quelles chansons ! […] Roscommon compose une pièce sur un petit chien mort, sur le rhume d’une jeune fille ; ce méchant rhume l’empêche de chanter : maudit hiver ! […] Plus tard il se grise, il embrasse les dames, il chante, il essaye de danser. « Voilà ma fille ; prenez, tâtez, je la garantis, elle pondra comme une lapine apprivoisée649. » Arrive Foppington, le vrai gendre. […] quoique je vous accorde que c’est un peu barbare674. » Elle éclate, puis elle se met en colère, puis elle badine, puis elle chante, puis elle fait des mines.