— Quand je lirais cent fois, cela ne changera rien à la phrase : Cinna, tragédie en cinq actes et en vers, de Racine. […] Buloz, combien vous avez changé d’opinion sur M. […] On vendit sur place, et le bureau de la Revue se changea en boutique. […] Je n’en persistai pas moins dans mon opinion, et, comme vous l’avez vu dans ma dernière lettre, je n’en ai pas changé. […] Buloz n’éditait pas les volumes comme il avait édité la nouvelle, et puis ces volumes avaient changé de titre : ils s’appelaient Deux trahisons, au lieu de Madame de Limiers.