J’admets très bien la limite établie entre la lecture et la leçon ; je crois pourtant qu’on peut aller assez loin en explications, en commentaires, sans que la lecture cesse d’en être une. […] On n’oublierait pas, à côté des gens de talent sortis du peuple, ceux qui y sont restés, qui, tout en ayant un génie et un don, n’ont pas cessé de pratiquer un métier.