Dans son dernier séjour à Venise et dès son arrivée en 1832, il avait vu un carnaval tel qu’il le désirait, un carnaval favorisé par le beau temps, et plus animé encore que de coutume à cause d’une baisse des comestibles : « Mais pourtant il est bien difficile, et peut-être impossible, écrivait-il à Schnetz, de rendre une scène de masques avec vérité et noblesse. […] Il qualifie quelque part cette peinture des Italiens modernes d’un seul mot : « On dirait de la peinture d’ennuyés. » Ici il en cherche la cause : J’y ai cependant fait une observation que je ne peux m’empêcher de vous communiquer, celle de n’y avoir trouvé aucun tableau un peu original : tous ne sont que de faibles réminiscences des ouvrages anciens et modernes, et rien de véritablement senti sur la nature. […] Il se joignait donc en lui à toutes les causes réelles, ou qu’il se figurait, une prédisposition héréditaire.