Songez au pauvre matériel causal dont elle disposait et imaginez ce qu’elle peut devenir au moment où Freud lui ouvre l’immense réservoir des causes immergées. […] À cause surtout de cet étrange code télégraphique préalable qui emprisonne l’interprétation. […] Un plaisir délicieux m’avait envahi, isolé, sans la notion de sa cause. […] Et plus haut déjà : Un plaisir délicieux m’avait envahi, isolé, sans la notion de sa cause. […] Quoiqu’il en soit de ses causes, l’amour-passion — car c’est de l’amour-passion que je parle — est un fait.