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1206. (1864) Cours familier de littérature. XVIII « CVIe entretien. Balzac et ses œuvres (1re partie) » pp. 273-352

Tous ses malheurs, et ils furent grands comme son caractère, ont tenu à cet excès de grandeur dans son génie ; ils dépassaient, non pas son esprit infini et universel, mais ils dépassaient le possible ici-bas : voilà la cause fatale et organique de ses coups d’ailes et de ses chutes. […] nous dit-il ; la cause de la vie des hommes est une cause surhumaine. […] « “Le temps que durait jadis l’inspiration produite par le café diminue ; il ne donne plus maintenant que quinze jours d’excitation à mon cerveau, excitation fatale, car elle me cause d’horribles douleurs d’estomac.

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