On ne saurait, dans aucun cas, assimiler cette liberté à la liberté absolue de la presse. […] Il y avait quelque chose qu’on appelait autrefois la censure pour les théâtres, vilain nom, nom odieux, et qu’il faut dans tous les cas supprimer.
On ne saurait, dans aucun cas, assimiler cette liberté à la liberté absolue de la presse. […] Il y avait quelque chose qu’on appelait autrefois la censure pour les théâtres, vilain nom, nom odieux, et qu’il faut dans tous les cas supprimer.