Et l’homme sorti : « Voilà le voleur… C’est un pédéraste… il a fait le coup avec son amant, qui doit avoir la garde du magot… Demain je saurai, qui il est. » Mais Boitelle appuie surtout sur la désorganisation de la police de famille, de cette police qui doit être exercée par un préfet de police, dans les cas, où il faut défendre les honnêtes gens, quand la loi manque pour les protéger, — police qui doit être exercée à la façon d’un cadi, mais à la condition de ne jamais se tromper — répète-t-il deux fois. […] Mercredi 21 mai Quelqu’un vivant dans le monde politique, disait ce soir, que le 16 mai n’avait pas réussi, par suite de la préoccupation de chaque ministre, d’avoir un passeport pour se sauver, en cas de malheur. […] — Oui, un médecin qui était là, n’avait rien vu à mon cas… C’est un voisin, un chirurgien de marine, qui venant me voir par hasard, a soulevé mon drap, m’a flanqué un coup brutal sur la jambe, m’a demandé : — Avez-vous pleuré ? […] Dans ce cas, il va trouver une maison de banque, et dit au banquier qu’il a besoin de 10 000 taëls pour passer ses examens.