Je m’assis sur ce banc à tes côtés ; une émotion mêlée de respect, d’attendrissement et de tristesse m’empêchait de parler. […] J’ai dit le bien et montré le beau côté : je tiens aussi à ne pas dissimuler le revers. […] Voilà le côté triste de l’affaire, et il faut nous pardonner, si nous le voyons et nous en affligeons un peu. Le bon côté que nous voyons aussi, c’est que vous menez, après tout, la vie que vous avez choisie, qui vous plaît, et qui renferme en effet bien des choses de nature à plaire. […] Tout connaître semble être le but de sa vie ; chaque nouvelle étude lui apparaît comme un nouveau monde dans lequel il se lance avec une ardeur de découvertes qui lui fait mettre de côté pour un temps les études antérieures.