Il songe au bien de ses sujets, mais seulement parce que ce bien entre comme un but accessoire dans les desseins d’un grand roi. […] Dieu construit ce monde comme le roi construit Versailles ; c’est son palais ; il faut que l’édifice, par son ampleur, sa régularité et sa magnificence, soit digne de son architecte ; à ce but suprême tout le reste est subordonné ; tant pis pour les pierres froissées ou taillées, pour les arbres émondés et transplantés, pour les eaux contraintes et emprisonnées.