Ce qui est certain, c’est que, quand Georges remit le pied en France sur la falaise de Biville, en août 1803, il n’avait plus pour but unique la mort du Consul et l’assassinat à tout prix ; cette mort était résolue évidemment ; il la fallait comme condition première de l’entreprise ; mais le coup se liait à des projets immédiats de remplacement : le 3 nivôse, comme le dit avec concision M. […] Mathieu lui expliqua cette doctrine, qui reposait sur la loi naturelle, et dont le but était purement moral et social.