La jeune fille est mariée presque au sortir du couvent et épouse, avec confiance, celui que le baron et la baronne ont cru devoir assurer le bonheur de sa vie. […] Il épousera bien vraisemblablement Irène, mais je ne puis croire qu’un cœur ainsi ballotté, usé par tant d’orages, puisse jamais goûter le bonheur calme que la vie va lui donner. […] » se dit-il, en saisissant la hampe et écoutant avec bonheur le sifflement des balles dirigées contre lui. […] C’est un personnage inattendu, la seconde femme de M. de Loisail, une charmante création, qui dira le mot qu’il faut pour que le bonheur vienne éclairer le dénouement. […] le bonheur muet des vierges s’assemblant !