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652. (1863) Causeries parisiennes. Première série pp. -419

Que faut-il donc pour leur bonheur ? […] De tous tes bonheurs ajournés, en as-tu recueilli un seul ? […] Le cœur qu’il croyait mort se réveille ; il se reprend à aimer, à espérer, à chercher le bonheur. […] Quelques jours de joie succèdent à tant d’angoisses ; — un rêve de bonheur, puis un réveil terrible. […] Il avait vraiment cessé de penser à son bonheur, à son intérêt.

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