Goulden, et je sentis que j’étais tout pâle de bonheur. […] » Le 8 janvier sa tante et sa cousine arrivent pour lui porter bonheur au tirage. […] Avec quel bonheur je m’étendais ! […] Ce que je fis avec un bonheur que je n’avais jamais connu. […] » Personne au village ne croyait que j’en reviendrais ; pourtant le bonheur de respirer l’air du pays et de revoir ceux que j’aimais me sauva.