Elle emportait en mourant tout son bonheur et toute sa fortune qu’il lui avait généreusement prêtée. […] Il la faisait revivre cette jeunesse entre la mort et lui pour se retenir encore à la vie par les perspectives en arrière du bonheur passé. […] Ne leur demandez pas compte de leurs efforts, mais de leur bonheur. […] Nous ne l’avons jamais vu remplacé ; c’était une de ces grâces dont on ne peut se passer, une de ces inutilités nécessaires au cœur et qui manquent au bonheur comme elles manquent au temps. […] Elle fut heureuse quelques jours, puis elle mourut dans le bonheur et dans le triomphe.