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8. (1908) Esquisses et souvenirs pp. 7-341

Il y eut aussi un Père blanc tout barbu et dégagé comme un zouave. […] Je me nourris de poisson, je bois de ce petit vin blanc qui sent la résine. […] La route est bordée d’asphodèles et de bruyères blanches. […] Il est monté sur un cheval tout blanc. […] La danse tourne : j’y déchire mes blancs souliers je ne quitte pas la danse.

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