L’art a certainement une fonction, puisqu’il est ; il satisfait à un besoin de notre nature. […] L’amour ôté, il n’y a plus d’art ; et l’art ôté, l’amour n’est plus guère qu’un besoin physiologique. […] Nous n’avons pas besoin de donner ici les remèdes qui sont bons à cela. […] Avant de soigner les autres, ils avaient besoin d’un remède énergique. […] Il n’a même pas besoin de sortir et de hochéner sa queue hiéroglyphique ; — d’écrire, encore moins.