Le genre de beauté des pièces sans action, c’est la beauté morale. […] C’est un portrait changeant, d’une beauté extraordinaire. […] Leur vérité et leur beauté font un peu tort au reste. […] Piron a trouvé ses principales beautés après coup. […] » cela est précisément la beauté de l’ouvrage et non pas la beauté conventionnelle, la beauté par procédé, le « faux sublime » ; c’est la beauté vraie ; car c’est très juste.