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1419. (1894) La bataille littéraire. Cinquième série (1889-1890) pp. 1-349

Ferdinand Fabre est trop connu pour que je puisse penser faire une surprise à mes lecteurs de ces pages empreintes de l’amour de la simplicité littéraire et des beautés de la nature. […] L’Inutile Beauté. — 1890. […] Auguste Vitu n’a rien exagéré de la beauté, de l’attraction, des gloires et de la grandeur de notre capitale. […] Il le rencontra dans une femme dont l’Italie admirait les talents, les vertus et la beauté. […] Il lui dédia des vers dans lesquels, passant de la contemplation des perfections sensibles de celle qu’il vénérait à la conception des beautés invisibles, il devint l’ami de Celui qui est l’auteur de toute beauté et de toute perfection.

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