/ 2370
11. (1858) Du vrai, du beau et du bien (7e éd.) pp. -492

Toutes ces beautés se rangent sous le genre de beauté qu’on appelle à tort ou à raison la beauté physique. […] Alors la beauté physique, la beauté morale et la beauté intellectuelle sont étrangères l’une à l’autre. […] Nous avons distingué la beauté en trois grandes classes : la beauté physique, la beauté intellectuelle et la beauté morale. […] Mais au-dessus de la beauté réelle est une beauté d’un autre ordre, la beauté idéale. […] La vraie beauté est la beauté idéale, et la beauté idéale est un reflet de l’infini.

/ 2370