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918. (1892) Sur Goethe : études critiques de littérature allemande

Suivant la théorie de Platon, le beau y est vraiment la splendeur du bien, et, suivant une théorie plus particulière à Goethe, l’utile y est l’essence du beau. […] s’écrie-t-elle, que tout cela est beau ! […] On a beau avoir soi-même une probité irréprochable, on a beau, dans tout ce qui ne touche pas au dogme, ne se laisser éblouir par rien d’injuste ni de faux. […] Voilà un beau caractère ! […] Vous étiez là, devant moi, si belle et si majestueuse !

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