Un beau jour sera aussi celui où cette dernière quittera son camarade pour me ramener près de vous. […] Rien n’est mieux tenu, et il est impossible de voir de plus beaux hommes. […] Le plus beau point de vue du monde lui joue le mauvais tour de le laisser froid comme glace ; il faut l’entendre : « De la fenêtre de notre auberge à Péra, je vois toute cette grande villa ; j’ai beau me battre les flancs pour m’enthousiasmer ; impossible ! […] Rien n’est plus beau que le principe : main là, comme en tout, il y a boursouflure et rien dessous. […] Si d’autres choses… » — Il n’a pas achevé— » À peine revenu de Paris, Horace avait eu d’abord à accompagner l’empereur dans le midi de la Russie : un beau voyage, rapide comme le vent, où l’on voyait tout à tire-d’aile.